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Pin’s sorbet
Distributeur :Prix habituel €30,00 EURPrix habituelPrix unitaire par -
Pin’s roller
Distributeur :Prix habituel €40,00 EURPrix habituelPrix unitaire par -
Pin’s pizza
Distributeur :Prix habituel €35,00 EURPrix habituelPrix unitaire par -
Pin’s cocktail
Distributeur :Prix habituel €35,00 EURPrix habituelPrix unitaire par -
Pin’s arc en ciel
Distributeur :Prix habituel €40,00 EURPrix habituelPrix unitaire par
5 questions au créateur
Qui êtes-vous ?
Je suis une créatrice de broderie d’art passionnée par mon métier. La broderie est pour moi un art sans limite que je ne cesserai jamais d’approfondir. Je suis née et j’ai grandi à Paris jusqu'à mes 18 ans pour ensuite partir faire mes études à Londres. Aujourd’hui, à 32 ans, je vis à Paris et développe ma marque Maison Monstre.
Une vie avant Maison Monstre ?
Avant de créer ma propre marque j’étais responsable broderie dans la maison de mode Olympia Le-Tan. Je m’occupais des minaudières et réalisais à la main les broderies des prototypes. J’ai également montré mes broderies dans plusieurs expositions et travaillé pour de nombreuses marques prestigieuses en tant que brodeuse.
3 adjectifs pour définir votre univers ?
Miniature, unique et fun.
Qu'est-ce qui vous a donné l'envie de vous lancer ?
J’ai toujours eu envie de créer ma marque afin de proposer mes propres broderies. J’adore broder dans des ateliers et des maisons de mode mais j’avais vraiment envie et besoin de laisser mon côté créatif s’exprimer. En octobre 2020, en confinement, j’ai eu le déclic du "maintenant ou jamais" et j’ai créé Maison Monstre.
Où trouvez-vous l'inspiration ?
La culture pop (les Spice Girls plutôt qu’Andy Warhol), les tendances du moment, la jungle qui me passionne depuis toujours et les petites choses du quotidien.
Où fabriquez-vous vos créations ?
Dans mon atelier à Paris, aux pieds de Montmartre.
Pourquoi le Made in France ?
Pour moi, le Made in France est très important, premièrement parce que je prends beaucoup de plaisir à fabriquer mes pin’s moi-même. Beaucoup de marques délocalisent la production de leurs broderies à l’étranger où les faibles coûts de production priment sur la qualité. Le jour où mes deux mains ne seront plus suffisantes je ferais appel à d’autres brodeuses en France, car je veux faire valoir les métiers d’art français. En France, nous avons de merveilleux artisans, mais beaucoup d’entre eux trouvent difficilement du travail à cause de la délocalisation, il serait temps de reconnaitre leurs savoir-faire.